Le carnet de Grauku (1)
Si tout a dérapé, c’est parce que je n’en pouvais plus de voir la photo de mon cul partout…
(Je sais, je sais… Je ne devrais pas utiliser le mot « cul » dans un roman. Grauku, c’est mieux ?)
Tout ça parce qu’une peste a photographié mes fesses à la piscine et a fait circuler la photo dans toute l’école, de cellulaire en cellulaire.
Conséquence : je me suis bourrée de chocolat et je me suis défoulée sur mon blogue. Puis une certaine « Kilodrame » m’a laissé un message : elle avait un moyen de me libérer complètement de mes problèmes de poids et de mes obsessions de bouffe. Une idée de carnet…
Oui, j’ai maigri. Oui, ma vie a changé. Mais pas comme je l’imaginais…
Bombardés de représentations de corps minces et musclés censés incarner l’idéal de beauté, les adolescents développent souvent une image corporelle négative et une faible estime de soi pouvant mener jusqu’aux troubles alimentaires. Au Québec, plus de 100 000 filles et femmes en souffriraient. Ce roman aborde le sujet sans détour, avec beaucoup d’humour et d’ironie, mais surtout, avec l’absence de clichés.
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